Dès ma jeunesse j'ai pu percevoir en mon être mon avenir en tant que policier enquêteur. Alors que j'habitais encore chez mes parents, j'ai été surpris par un adolescent qui battait un de mes meilleurs amis et qui l'a même tué. J'avais tenu pour la première fois un revolver dans mes mains. Je ne l'ai jamais oublié d'ailleurs. Toutefois, ajourd'hui, je cours derrière de grands criminels, comme des criminels ordinaires, que ce soit des gens normaux qui ont tués pour diverses raisons ou des gens de gangs tel que la mafia.

Je suis né à Chicago, une ville à peu près similaire à New York. Mes parents et moi-même avions habités dans une grande maison, où il y avait assez de place pour le petit garçon hyperactif que j'étais. À dix-huit ans, je suis partit dans l'armée, suivant ainsi les traces de mon père dans les Marines. J'ai été gravement blessé lors du combat à Beyrouth et du avoir un transfert dans un hôpital de New York d'urgence. J'ai rencontré Claire là bas, alors qu'elle travaillait comme infirmière. Tout de suite ce fut le coup de foudre. J'ai pu rapidement me remettre sur pied, j'avais alors trente-cinq ans à l'époque. Pendant un an ou deux, j'ai travaillé sur les ponts en ville, à la base militaire non loin de là, jusqu'à ce qu'on m'emène à Chicago quand j'ai appris de ma mère que mon père, mon héros, était mourant. Je m'étais fiancé avec Claire peu de temps avant et nous projetions de nous marier quelques temps après son décès. Ce fut un choc pour moi, mais j'ai tout de même remplit la promesse que je lui avait fait d'appliquer pour le poste de chef dans la police scientifique à New York. J'ai été prit et c'est là que mon travail a réelement débuté.

Claire est décédée dans les attentats du onze septembre. Ce fut un grand choc pour moi. J'en ai souffert pendant plusieurs années. Heureusement que Stella était là tout ce temps pour m'aider, sinon je crois que je serais tombé dans un gouffre sans fond et sans sortie. L'ancien Mac Taylor refait suface de temps à autres, ouvrant un peu mon coeur aux monde. Toutefois, la plupart du temps, je reste fermé comme une huitre et ne laisse personne y entrer. J'ai bien eu d'autres femmes dans ma vie, nottament Peyton Driscoll, mais ça n'a pas vraiment fonctionné. Une journée, je l'avais même appellé du nom de ma défunte femme et je sais qu'elle a été vivement insultée. Mais bon, elle est partit à Londre, alors je n'ai plus beson de m'en faire...

Aujourd'hui, j'ai 56 ans. Je suis toujours célibataire. J'ai tout de même une femme qui me tape dans l'oeil depuis quelques temps, mais je ne sais jamais comment m'y en approcher. Du coup, je reste loin et je me contente de rêver à ce que pourrait être ma vie avec elle.....

Voilà mon histoire.