Three CSI
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ஐ Look at me ! ─ Niel A. Bones | CSI: NY

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AuteurMessage
Niel A. Bones
Niel A. Bones
Nombre de messages : 2
Date de naissance : 03/03/1983
Age : 41
ஐ Look at me ! ─ Niel A. Bones | CSI: NY Vide
MessageSujet: ஐ Look at me ! ─ Niel A. Bones | CSI: NY ஐ Look at me ! ─ Niel A. Bones | CSI: NY Icon_minitimeMar 22 Mai - 13:00


    NIEL A. BONES
    FEAT Tom Hiddleston



    Âge: 29 ans.
    Sexe: Masculin.
    Orientation:Excellente question. Je suppose que j'ai une préférence pour les femmes.
    Métier:Psychologue.
    État.civil:Célibataire, heureusement.






    Niel est quelqu'un de sensible mais il ne le montrera jamais.



    ஐ Look at me ! ─ Niel A. Bones | CSI: NY Source10
    (c) NIEL

    Histoire


    Il était en retard. Comme d’habitude, en fait. La respiration saccadée, bousculant quelques passants sur les rues devenues lugubres de New-York, Niel espérait à tout prix qu’il ne raterait pas son entretien d’embauche. Quelques personnes lui fusillèrent du regard, le « valeureux » anglais n’y s’y attarda pas. Ses jambes le soutenaient comme elles le pouvaient et son cœur battait à tout rompre. Niel se faufila dans une foule, lança un regard désespéré à sa montre. Soudain, il s’arrêta et souffla longuement, il était enfin arrivé ! Il monta les marches du petit bâtiment, lança un regard courroucé en voyant les portes de l’ascenseur s’ouvrir sur beaucoup de monde et s’y engouffra, la mine crispée. Arrivé à son étage, il toqua à la porte de son, il espérait, futur patron. Ce dernier ouvrit, la mâchoire contractée et les sourcils froncés.

    — Vous êtes en retard, monsieur Bones, lança sèchement l’homme.

    Niel voulut riposter, la bouche ouverte avant de la refermer, se calmant peu à peu. Son caractère allait le rendre pauvre. Son futur patron pointa un siège devant son bureau et Niel vint s’asseoir, un peu plus de mauvaise humeur de d’habitude. Et c’est ainsi que commença l’entretien d’embauche.

    Niel n’avait jamais été comme ça, auparavant. Il était un gamin plutôt joueur, qui faisait des bêtises, comme tout petit garçon de 9/10 ans. Né dans une petite campagne d’Angleterre, il avait eu une vie banale, une famille normale, une scolarité moyenne. En fait, il était le garçon qu’on voyait à chaque coin de rues. Enfin, presque « chaque ». Niel avait une grande et petite sœur et un frère aîné ; ses parents travaillaient en tant que fermiers. Ne croyez pas qu’il s’est passé quelque chose de tragique, loin de là. Lors des 24 ans de Niel, à la fin de ses études de psychologie, il eut envie de changer d’air. De pays. Au début, il avait hésité entre Paris et New-York, finalement en voyant que son français était aussi sinistre, il alla à la ville qui ne dort jamais.

    Plusieurs années s’étaient passées sans que rien ne trahisse ses pauvres journées à tenter de trouver un job. Il en avait eu. Comme par exemple, serveur dans un restaurant remplis d’ivrognes, assistant d’un psychologue narcissique et encore plus pires. La ville devenait plus sombre, plus … criminelle. Niel n’avait jamais eu de problèmes et n’en voulait pas, où alors juste assez pour le faire sortir de ses jours monotones. Et aujourd’hui, il se trouvait face à un homme qui venait de l’accepter dans un de ses cabinets. Pour lui.

    Caractère



    — Il m’énerve, mais il m’énerve… « Nettoie mes lunettes », il croit que…
    — Arrêtez de jacasser, monsieur Bones !
    — Bien sûr, votre Majesté,
    s’exclama le jeune homme ironiquement.

    Viré. Il était tout simplement viré. Depuis deux heures et vingt-quatre minutes. C’était un raté, complètement. Mais Niel commençait à avoir l’habitude. Les phrases qu’on lui dit le plus sont « Vous êtes viré, monsieur Bones. » et « Pourquoi tu me quittes ? ». En quelques jours seulement, l’anglais trouvait que sa vie tournait au cauchemar ; les filles semblaient plus niaises qu’avant, les hommes étaient étranges. Peut-être que c’était New-York qui les rendait fous ? On ne saurait jamais. Sa mère lui avait toujours répété que s’il ne changeait pas, il aurait des problèmes. Elle avait raison. Ses défauts étaient aussi gênants que ses anciennes petites-amies et ses qualités étaient juste introuvables. Qui voudrait d’un homme aussi jaloux que lui ? Aussi impulsif ? Personne. Pas même son chat. Il le niait, la plupart du temps. Souvent de mauvaise humeur, lorsqu’il se mettait à s’énerver ou stresser, Niel commençait à parler tout seul, à raconter sa vie comme s’il avait traversé le désert du Sahara en pull. « Regaaarde, je ne suis que l’ombre de moi-même. » « Tais-toi, Bones. » Ses amis étaient des traîtres.

    Il avait des bons côtés, aussi ! Enfin, c’est ce qu’il croyait. Il détestait voir des jeunes martyriser une personne âgée ; dès qu’une amie pleurait, il consolait. Ce n’était pas Superman, non plus. Il admirait beaucoup les équipes criminelles pour protéger la ville, il aurait tellement voulu travailler à leurs côtés en tant que psychologue.

    Niel était aussi le pire retardataire qu’on pouvait voir sur chaque centimètre carré d’une ville. 14 :00 ? Il venait une heure plus tard, essoufflé et grognon. 9 :00 ? Prévoyez des sandwichs, il viendra à 11 :00. Ce n’était pas non plus un psychologue délicat, qui savait utiliser les bons mots. Non, Niel préférait être franc… et blessant. Il ne comptait plus le nombre de gifles qu’il s’était pris. Une dizaine ? Peut-être.

    Au final, il était juste un homme qu’on en voyait partout.

    Physique



    Niel tentait de se coiffer ses cheveux noirs. En vain. Finalement, il préféra les laisser à la « sauvage », plutôt que de s’acharner dessus et de pleurnicher. Ses cheveux étaient aussi noirs que votre écran d’ordinateur, aussi bestiales que … pourquoi je pense pervers ? Prenons un autre mot. Ils étaient ébouriffés. Vraiment. Ce que Niel aimait dans ses cheveux, étaient qu’ils contrastaient avec ses yeux bleus pâles. Ils étaient grands, comme ceux d’un hibou — non quand même pas, et pétillaient toujours de… de « foutez-moi-la-paix ». Ses lèvres étaient fines, rosées. Aussi rosées que ses joues. Niel était grand, dans les environs d’1m85. Il n’était pas aussi musclé que Terminator ou comme quelques criminels qu’on voyait à la télévision, mais juste assez. Juste assez pour le rendre beau. C’était la seule qualité potable de son caractère, son physique. Il portait, pour la plupart du temps, des pantalons moulants et des belles chemises noires, qui embellissait sa jolie peau laiteuse. Mais ce n’était pas l’homme parfait, Niel n’était pas bronzé comme les californiens. En fait, il était juste lui. Niel Andrew Bones.



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